Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 9 ans
Pendant toutes les années qui ont précédé ma rencontre avec celle qui allait devenir ma femme et ma Maîtresse, je n'ai connu qu'une seule fille et pendant un court moment. Aussi ai-je poursuivi la découverte de la masturbation et de la sodomie sur moi-même.
Les études m'ont conduit à ma vie d'adulte et j'ai rencontré l'Amour. Nous nous sommes mariés et vivons sans avoir d'enfant. Je me masturbais parfois et avais un peu oublié la sodomie. Nous faisions l'amour et cela suffisait alors à notre bonheur. Pour ma femme (à cette époque) l'installation dans notre maison était tout et je me suis senti un peu exclu. Nous n'avons pu faire l'amour pendant quelques temps, mais mes besoins étaient les mêmes. Je me suis donc retourné vers mes premières découvertes. C'est là que commence ma véritable vie, celle que je connais aujourd'hui et que je n'échangerais pour rien au monde. Tous les instants de ce premier jour sont gravés, avec précision, en moi pour toujours.
Un soir, en revenant du boulot, je désirais prendre une douche autant par nécessité corporelle que par envie coquine. Depuis le midi, je ruminais un désir brûlant de m'enculer. Cela faisait longtemps que ce désir ne s'était plus imposé. J'entrais dans la douche et laissait couler l'eau chaude sur mon corps. Bientôt la vapeur empli la salle de bains. Je pris une des brosses à cheveux de ma femme, je m'accroupis dans la douche et enduisant le manche de la brosse de salive je l'enfonçais doucement dans mon anus. Quelle sensation douce et merveilleuse. Ecartant une cuisse, je prenais mon sexe dans une main, la brosse dans l'autre et je m'appliquais à coordonner les deux mouvements de va-et-vient. Oubliant tout je me vautrais dans la luxure d'un plaisir longtemps refoulé. Mais j'avais oublié ma femme qui entra à ce moment là dans la salle de bains. L'eau coulait et je ne l'avais pas entendu. Désirant me dire un mot, elle écarta le rideau de la douche et me découvrit tout à mon affaire. Quand je réalisais ce qui se passait, je me relevais en retirant rapidement la brosse mais je ne pouvais pas lui cacher ni l'objet du délit ni mon sexe bandant. Ma femme ne dit rien, elle referma le rideau et sortit en claquant la porte. Mon sexe retomba. Je nettoyais la brosse et finit de me laver sans aller au bout de mon plaisir solitaire.
En sortant de la douche, je vis ma femme couchée dans notre lit, en train de bouquiner. Je m'approchais pour l'embrasser mais elle refusa mon baiser, se tourna et éteint la lumière. Je restais dans le noir sans bouger, la tête confuse et surtout honteux.
Le matin suivant, la colère de ma femme n'avait pas cessé et nous partîmes au travail chacun de son côté sans un mot. Le soir, je devais absolument me faire pardonner. J'achetais un bouquet d'œillets et je préparais des "bouchées à la reine", plat que ma femme adore. Elle rentra. Je lui offris le bouquet qu'elle accepta et mangea avec plaisir le repas. Mais toujours pas un mot !
Je passais dans le salon et j'allumai la télé pour regarder les informations. Ma femme arriva en tenant dans son dos le bouquet d'œillets. Elle s'assit à côté de moi sur le canapé et posa les fleurs sur la table basse devant elle. Je me demandais pourquoi. Très vite elle prit la parole et se mit à évoquer en riant ce qu'elle avait vu la veille dans la douche. Elle se moqua de moi et me demanda depuis quand j'étais pédé.
Le rouge me monta aux joues d'entendre ce mot si laid dans la bouche de mon aimée. Je voulais lui répondre mais curieusement, je crus me retrouver face à mon copain Pascal, nu devant lui. Ma femme continua à se moquer de moi et décrivit en détails la manière de manier le manche de la brosse dans mon cul. Elle me fit même remarquer qu'il lui semblait que mon sexe était plus gros que lorsque nous faisions l'Amour. Quand j'eus enfin la parole, je lui expliquais tout en détails, (mes besoins physiques importants et constants quelque soit les jours, le plaisir de la sodomie, …) y compris mon aventure avec mon copain. Et là tout a basculé.
Elle m'expliqua qu'elle avait beaucoup pensé à moi et à nous toute cette journée et qu'elle trouvait elle-aussi que notre relation de couple s'essoufflait un peu. Elle me confia que lorsqu'elle était une petite fille, elle aimait beaucoup jouer à la maman qui donne des fessées à ses enfants. Elle me demanda si j'accepterais de recevoir une fessée. Je lui répondis que je l'aimais de tout mon cœur et que j'acceptais. Elle me demanda de me déshabiller et de m'allonger sur ses genoux. Honteux comme la première fois, j'obéis. Mon sexe (je pouvais encore l'appeler ainsi à l'époque) grandit : ma femme rit une nouvelle fois en le voyant. Une fois allongé sur elle, je reçus une première claque, puis une autre et encore une autre. La correction dura un petit moment.
Et j'aimais cela !
Mon sexe resta tout le temps gonflé de désir et de plaisir. Ma femme me demanda de me relever. Elle constata le plaisir évident que j'avais eu. Mais je remarquais sur son visage, un éclat si particulier qu'elle avait lorsque nous avions fait l'Amour et qu'elle «était bien ». Ainsi nous aimions sans le savoir la même chose.
J'aime ça me dit-elle, je pense que nous allons recommencer souvent. Je ne répondis pas. Je restais debout devant elle, nu et le sexe bandant. Pourtant je n'avais pas encore fini. Elle me demanda de me mettre à quatre pattes devant elle en lui offrant mon cul. Comme lorsque Pascal m'avait "enculé" avec ses doigts, j'entendis ma femme cracher et je sentis un jet frais se déposer sur mon anus. Bientôt, quelque chose de dur et de petit força le passage de mes sphincters et s'enfonça en moi. Je compris bien vite que c'était une tige d'œillet. Tout le bouquet y passa. Mon anus fut bientôt farci au plus profond par le bouquet de fleurs.
Ma femme me demanda si j'aimais, je lui répondis que oui. Elle glissa une main sous moi et me caressa le sexe. Nous finîmes allongés sur le canapé à faire l'amour moi avec le bouquet dans l'anus....
Nous renouvelâmes très souvent cette expérience. Chaque sodomie se faisait avec les objets qui nous tombaient sous la main : un goulot de bouteille, un manche de tournevis, toutes les brosses à cheveux de la maison, y passèrent une par une et parfois deux en même temps. Pendant des années, nous avons poursuivi le jeu de la fessée et de "l'enculage". Chaque fois cela nous conduisait à l'Amour ensuite.
Et puis en lisant un magazine pornographique, j'ai découvert l'existence de boutiques spécialisées par correspondance. Nous avons commandé des godes, une cravache et aussi des cassettes . Un jour en cadeau, nous avons reçu une cassette porno qui racontait la soumission d'un esclave mâle face à une Maîtresse. Ce fut le déclic pour nous deux.
Pardon d'être un peu long mais il faut, je pense, bien raconter comment tout cela à commencé. Etre l'esclave de sa femme, esclave par amour, est une chose qui se développe lentement. Je ne crois pas beaucoup aux esclaves qui se soumettent au premier venu : c'est je crois pur fantasme. Pour moi, le fantasme est réalité mais pour cela, nous avons appris ensemble à devenir chacun ce que nous voulions être au plus profond de nous.
Aujourd'hui, nous sommes dans la quarantaine. Nous vivons dans le sud de la France, dans le Var, dans un petit village près de Toulon. Nous sommes tous les deux fonctionnaires et nous avons la chance de travailler assez près l'un de l'autre.
Je vis ma soumission tous les jours de ma vie : je porte des sous-vêtements féminins la plupart du temps sous mes vêtements d'homme. Le matin je me lève tôt, avant tout le monde, et je me rase la queue et l'anus, puis je me douche et me pose obligatoirement trois pinces à linge sur chaque sein : Maîtresse vérifie toujours le rasage et les marques sur mes seins. Puis je place, selon les jours, une chaîne de soumission autour de ma taille et un anneau en métal ou en cuir autour de mon sexe. Mais le mieux est quand je dois porter une ceinture de chasteté.
D'ailleurs, actuellement, je suis en train d'apprendre à ne plus me masturber ni éjaculer sans autorisation. Cela fait aujourd'hui 6 jours que je suis en abstinence : c'est très dur !
Puis je m'habille : un soutien-gorge et des bas à jarretières élastiques en hiver et rien en été. La journée passe. Le soir, dès que j'arrive, je me change et je nettoie mes sous-vêtements. J'enfile un retrousseur sur le prépuce pour avoir le gland retroussé et je me lave l'anus (que désormais j'appelle ma chatte). Je place sur mes seins des pinces fines et discrètes. Le reste de la fin de journée se passe sans que personne ne sache quoique ce soit. Nous sommes très discrets car nous ne voulons pas que nos amis et relations souffrent de notre vie sexuelle.
Dès que le soir tombe Maîtresse reprend tous ses droits et satisfait tous ses besoins. Je redeviens son soumis d'Amour et je jouis des punitions qu'elle m'inflige. Mais il ne faut pas non plus croire que tous les soirs sont identiques : il nous arrive aussi de faire uniquement l'Amour et puis d'autres soirs, nous nous caressons mutuellement en regardons la télé, comme beaucoup de couples (j'espère !). Mais il n'y a aucun soir ou nous ne nous touchons pas d'une manière ou d'une autre.
Voilà comment nous organisons notre vie : Le mieux est de vous donner l’emploi du temps d’une journée de ma vie...
Je me lève le premier vers 6 h 30. Je file dans la salle de bain. Je me rase depuis le haut du pubis jusqu’en haut de la raie des fesses (depuis quelques jours Maîtresse essaie un nouveau produit dépilatoire pour éviter de me raser tous les jours et avoir des boutons). Ma queue est retroussée car je dors toujours avec un petit anneau de caoutchouc autour du gland. Je place trois pinces à linge l’une sur l’autre sur chaque sein et une cordelette autour de mes testicules et de mon pénis dans le but de m’empêcher de me masturber sous la douche. Je me lave soigneusement en faisant le moins de bruit possible. Je n’enlève mes pinces et la cordelette qu'une fois séché et ensuite j’enfile un peignoir. Je vais réveiller Maîtresse et je lui présente mes seins et mon sexe. Elle analyse les marques laissées par les pinces. Si elle est satisfaite mes seins seront tranquilles pour la journée dans le cas contraire elle me pose des petites pinces discrètes (ce sont des attaches de tableaux que l’on appelle chez moi des pinces « à clé »). Pour le pénis, il suffit qu’elle le gifle doucement : si je bande immédiatement, c’est que je n’ai pas éjaculé, alors elle retire le retrousseur et m’embrasse le gland. Si je ne bande pas tout de suite, alors je vais porter toute la journée une coquille (du même type que portent les boxeurs pour se protéger). Mais pour moi cela veut dire pas le droit d’uriner de toute la journée. Puis je m’habille (en été, seulement une chaîne fine autour de la taille et un anneau en cuir ou en métal selon les envies de maîtresse et en hiver, soutien-gorge et bas à jarretières élastiques. Puis j’enfile les vêtements que je veux pour la journée. Je ne porte jamais de slip.
Une journée tout à fait normale commence sans faits particuliers (sauf que je fais attention de toujours servir Maîtresse en premier, lui ouvrir les portes et portières de voiture, de passer toujours après elle, de ne jamais lui couper la parole, .. . Tous ces petits faits qui discrètement lui montrent ma soumission sans que personne ne puisse y voir autre chose que de l’amour et de la galanterie.
Je dépose Maîtresse à son bureau, et je file au mien. Grâce au téléphone portable, je lui adresse toujours deux messages d’amour et de soumission dans la journée (du style : « Merci Maîtresse pour la punition d’hier soir, ou je t’aime maîtresse, tu es la plus belle de toutes les femmes »).
Ah! autre signe de soumission : je n’urine jamais debout. Je m’assois sur la faïence directement si j’utilise des toilettes, même publiques et sinon dans la nature, je fais accroupi en poussant mon sexe en arrière (cela m’oblige dans tous les cas à me déculotter entièrement).
A la pause de midi, elle m’appelle au téléphone si nous ne pouvons pas nous voir. Je lui réponds toujours en l’appelant Maîtresse quelque soit l’endroit. Pour le repas j’ai des interdictions car j’ai tendance à prendre du poids : (charcuterie gras, fromages, …) que je respecte car la balance est sans appel. Mais j’avoue que c’est dur et que je me laisse tenter parfois à midi, hors de son contrôle. Je lui avoue de toute manière absolument tout le soir.
Dès que je rentre, je me déshabille et je lave mes sous-vêtements. Je passe un gant de toilette sur mon anus et je place mon retrousseur du soir. Puis je mets ma guêpière de la soirée et mon peignoir que Maîtresse a raccourci pour qu’il arrive en haut des cuisses. On se retrouve le soir, repas (très souvent fait par moi), discussion entre nous.
Pendant que maîtresse s'allonge devant la télévision, je range la cuisine fait la vaisselle, c’est normal puisque chacun à une tâche particulière à accomplir (mise de table, rangement de sa chambre, etc….). Pour moi les tâches ménagères sont la cuisine (faire le repas, ranger, nettoyer : seule différence : je retire toujours mon peignoir et j’accomplis mon ménage en guêpière.
Maîtresse est dans le salon : elle lit, se détend, regarde la télé, …puis je retire mon peignoir et je m’agenouille devant elle mains derrière le dos : Je confesse alors mes fautes de la journée (nourriture, regard vers les autres femmes, etc.) ou je raconte ma journée en détails
Selon mes erreurs, maîtresse dresse les punitions immédiates ou avec effet retard, sur le week-end ou pour la nuit ou le lendemain.
Je ne cherche pas forcément les fautes car j’aime être puni : fessées sur les fesses, le sexe, le visage, le corps, travail des seins, élargissement anal, port de gode de manière prolongée, privation de nourriture ou privation de masturbation ou d’éjaculation.
Les soirées sont difficiles à résumer car nous ne faisons jamais la même chose et nous faisons souvent l’amour dans le salon ou dans la chambre. Pour le coucher, je remets mon retrousseur si maîtresse l'a retiré dans la soirée pour satisfaire ses envies .Je dors tout nu dans le lit de Maîtresse. Mais il arrive que je sois obligé de dormir ailleurs. Dans le bureau, je dispose d’un petit lit avec juste une couverture qui sert d’ordinaire de canapé. Si Maîtresse est en colère contre moi ou chaque fois que j’éjacule en elle sans son autorisation, je dors là avec un gode dans l’anus pour la nuit et parfois des pinces sur les seins (plus rarement). Je dois alors me lever à 6 h 00 même le dimanche et je dois tout ranger.
Le dimanche je me réveille aussi à 6 h 30, je fais ma toilette et je prépare le petit déjeuner que je monte sur un plateau vers 7 h 30. Mais j’attends que Maîtresse se réveille. Je suis tout nu bien sûr et je ne déjeune pas. J’attends à genoux face au lit en tenant le plateau. Généralement Maîtresse est réveillée par les bonnes odeurs. Dès que le jardin nous l’offre je cueille une rose que je pose sur le plateau. Je l’ai bien sûr cueilli tout nu avec la queue retroussée.
Ensuite nous faisons l’amour : le dimanche je n’ai jamais le droit d’ éjaculer avant que maîtresse d a joui au moins deux fois. Puis elle se retire me laissant le pénis vibrant de frustration et de désir. Elle s’assoit alors sur mon visage et je lui nettoie la chatte de sa liqueur. J’adore !!! Si Maîtresse est contente de moi, elle en profite pour me gifler les testicules et le pénis. Puis j’enfile ma ceinture de chasteté (fabrication maison avec du cuir) je peux juste uriner. La ceinture est devant –derrière : cela signifie que maîtresse m’enfonce un gode dans la "chatte" que je garde toute la journée. Puis nous décidons, ce que nous allons faire de notre journée, il nous arrive de partir en promenade ensemble. La promenade se termine rarement sans que mes fesses soient rouges, ma "chatte" élargie, mes seins meurtris et que j’ai dû descendre mon pantalon et montrer aux oiseaux mes sous-vêtements de soumis. Ce que j’adore le plus c’est la douche dorée : Nous la pratiquons uniquement dans la nature pour des raisons de simplicité. Nous cherchons un coin tranquille, je me déshabille et je m’allonge sous Maîtresse qui baisse sa culotte et me pisse dessus, bouche bien ouverte. Parfois, elle s’assoit sur moi pour que je ne perde aucune goutte ou bien m’inonde et je dois rentrer avec le soutien gorge mouillé ou la guêpière (car il m’arrive de la garder toute la journée). Chaque fois je dois bien la nettoyer et j’adore cela. Pendant la miction, elle choisit toujours une petite badine et me fouette la queue à travers la ceinture de chasteté. Au début je ne sens rien mais les coups répétés finissent par être douloureux et cela excite mon sexe qui veut bander mais est bloqué par le cuir. Mon pénis est alors douloureux pendant un grand moment.
Voilà un peu la manière dont je vis ma soumission au quotidien.
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